La justice réparatrice est au cœur de la nouvelle fiction Mea culpa de Chantal Cadieux. Elle met en vedette Mélissa Désormeaux-Poulin dans le rôle d’une femme qui en a fait sa mission mais se trouve plongée dans un conflit qui pourrait l’opposer à ses plus fidèles amis. Mea culpa comprend 12 épisodes de 60 minutes qui seront diffusés le mardi à 20 h sur ICI TÉLÉ et ICI TOU.TV à compter de demain. C’est aussi à partir de demain à 21 h qu’on pourra voir chaque semaine l’épisode suivant en primeur sur ICI TOU.TV.EXTRA.
Mea culpa met aussi en vedette Maxim Gaudette, Jessica Barker, Dany Boudreault, Cynthia Wu-Maheux, Sacha Charles, Marie-Thérèse Fortin, Marcel Leboeuf, Jasmine Lemée, Ralph Prosper, Anna Beaupré Moulounda, Mounia Zahzam, Mireille Naggar, Adam Moussamih, Rosalie Pépin, Léokim Beaumier-Lépine, Catherine Simon, Kevin Raymond-Jean, Inès Defossé, Lou Thompson et plusieurs autres. La série est réalisée par Miryam Bouchard et produite par Richard Haddad et Josée Vallée pour Sphère Média.
Dans un centre de justice réparatrice, Bérénice (Mélissa Désormeaux-Poulin) accompagne la démarche de gens victimes d’actes criminels ou qui les ont commis, pour favoriser un dialogue entre eux et la réparation des torts causés. Son objectif : aider ces personnes profondément blessées à tourner une page traumatisante de leur histoire pour mieux profiter de leur présent et de leur avenir.
Bérénice n’a pas choisi son métier de médiatrice sans raison. Il y a 25 ans, elle et ses meilleurs amis (Jessica Barker, Dany Boudreault, Cynthia Wu-Maheux) ont été marqués à jamais par une brutale agression lors d’une fête de fin d’année collégiale. L’une d’elle (Lou Thompson) a été tuée, un autre est devenu quadriplégique. Le coupable (Maxim Gaudette), ayant obtenu sa libération conditionnelle, revient dans leur vie 25 ans après sa condamnation à perpétuité.
Au fil des discussions, confrontations et rencontres bouleversantes qui s'ensuivent, des secrets bien gardés sortent au grand jour… La confiance entre les amis en est fortement ébranlée, tandis qu’une grande question perdure : peut-on réellement croire à la réhabilitation d’un meurtrier? Et plus largement, quand la colère, le sentiment d’injustice et la peine hantent toujours les victimes directes, collatérales et le public en général, comment peut-on savoir qui, de l’agresseur ou de l’agressé, est le plus en « danger », même après plusieurs années? C’est ce que les protagonistes de Mea culpa nous feront découvrir au fil des 12 épisodes…
Cette production est rendue possible grâce au soutien du Fonds des médias du Canada.