C’est l’autrice-compositrice-interprète France d’Amour qui a eu le privilège de défendre ce roman. Cette dernière l’a d’ailleurs qualifié de fantastique : «superbe roman moderne qui, comme un miroir tendu vers nous-mêmes, nous permet de voir le reflet de nos relations amoureuses sur l'ensemble de nos vies.»
Le roman de Nadine Bismuth se résume comme suit : Magalie, quarante ans, est designer de cuisines. Elle vit avec Mathieu, le père de sa fille, un avocat qui la trompe, et qu’elle trompe en retour. À cause d’un lien de famille qui les rapproche tout à coup, elle fait la connaissance de Guillaume, policier de son métier et père célibataire. Au bout de quelques mois remplis de révélations, de malentendus et d’un chassé-croisé d’intrigues, la vie de chacun d’eux aura basculé pour les laisser devant quoi ? Un tas de cendres ? Ou la perspective d’un recommencement, qui sera peut-être la répétition de ce qu’ils ont déjà vécu, espéré, souffert ?
Rappelons les cinq combattants provenant de cinq régions du Canada et les œuvres qu’ils ont défendues au Combat national des livres 2020 :
ROMEO SAGANASH -- Territoires autochtones
Cheval Indien, de Richard Wagamese, traduction de Lori St-Martin et Paul Gagné (XYZ)
JULIE AUBÉ (HAY BABIES) -- Atlantique
Moncton Mantra, de Gérald Leblanc (Prise de parole)
FRANCE D’AMOUR – Québec
Un lien familial, de Nadine Bismuth (Boréal)
DOMINIQUE DEMERS – Ontario
La mauvaise mère, de Marguerite Andersen (Prise de parole)
ALPHA TOSHINEZA -- Ouest
Le soleil du lac qui se couche, de J. R. Léveillé (Éditions du Blé / La Peuplade)
Mentionnons enfin que ceux et celles qui ont voté couraient la chance de remporter un chèque-cadeau (valeur de 2000$) chez Leslibraires.ca pour bâtir leur bibliothèque de rêve, en plus de recevoir les conseils personnalisés d’un libraire.
Réalisation: Jocelyn Lebeau